« C’est la pire chose … demander à son fils s’il a été abusé par son petit ami » : quand l’amour de sa vie est un pédophile

Rosie Nelson, femme de 48 ans partage toutes les difficultés qu’elle éprouve pour se reconstruire après avoir découvert celui avec qui elle partage sa vie depuis 4 ans, a un goût singulier pour les enfants et aime télécharger du contenu pédopornographique.

Elle qui pensait avoir trouvé l’amour de sa vie, fut subitement a vu sa vie s’effondrer subitement quand elle a remarqué que Peter Loram, l’homme de 39 ans qui partageait sa vie était un pédophile.

Fortuitement elle est tombée sur une carte mémoire qui traînait dans son bureau quand elle a découvert l’inimaginable : 240 vidéos et 204 photos de contenu pédopornographique mettant en scène des enfants abusés. Son compagnon avait téléchargé toutes ces images sur le Darkweb.

Elle a immédiatement dénoncé son amour de pédophile aux autorités. L’homme écope d’une peine de prison avec sursis. Seulement la vie de la quadragénaire est bouleversée. « Cela a bouleversé mon univers. C’est la chose la plus horrible que j’aie jamais vue. Je me suis assise et j’ai fixé l’écran en me demandant : ‘C’est pas vrai. Mais qu’est-ce que je viens de voir ?’. J’ai été violemment choquée et ébranlée, comme jamais je ne l’avais été auparavant. Je savais que je devais faire quelque chose mais j’étais incapable de faire la moindre chose tellement j’étais sous le choc », a confessé Rosie.

La pire chose au monde …

Face à la réticence de son compagnon d’avoir d’enfant, elle pensait que ce dernier ne les aimait pas. Et après avoir découvert cette carte mémoire, Rosie a commencé à se poser des questions. « C’est la pire chose au monde de devoir demander à son fils s’il a été abusé par son petit ami », a-t-elle raconté. Heureusement, son fils lui a dit que Peter n’avait jamais abusé de lui.

Il faut en parler…

Après son déménagement, Rosie a complètement coupé les ponts avec son compagnon.  Elle a décidé de briser les tabous. Désormais elle apporte son aide et son soutien aux personnes qui découvrent que des proches sont attirés par les enfants et qu’ils regardent du contenu pédopornographique. Elle conclut : « Nous devons en parler. Je sais que les gens ne le veulent pas, mais les choses ne feront qu’empirer si nous ne le faisons pas ».