Alina Kabaeva : la supposée maîtresse du discret Vladimir Poutine, source de son divorce?

Avec la guerre déclarée en Ukraine, le nom Vladimir Poutine revient fortement au devant de l’actualité avec une incursion sur sa discrète vie privée. Et des confidences, une maîtresse émerge : Alina Kabaeva, surnommée « la femme la plus souple de Russie ». Alina Kabaeva serait selon certains médias la cause du divorce de Vladimir Poutine.

Réfugiée en Suisse avec ses enfants, loin des bombardements en Ukraine, elle se fait très discrète. Mais qui est-elle ?

Selon des informations publiées par Page Six, Alina Kabaeva mère de leurs quatre enfants, serait la maîtresse du leader russe, et réside actuellement en Suisse, dans un lieu bien gardé.

Vladimir Poutine, divorcé en 2014 de Lyudmila Aleksandrovna Ocheretnaya, couvre sa vie privée de mystère. Surnommée « la femme la plus souple de Russie », Alina Kabaeva est considérée comme la cause du divorce de Vladimir Poutine. La rumeur a été lancée par le journal Moskovsky Korrespondent en 2018. Il rapportait que l’ex-gymnaste médaillée d’or olympique était la maîtresse du président. Une information démentie par le Kremlin. Quant à Vladimir Poutine, il n’a jamais officialisé leur relation.

Devenue députée pro-Kremlin en 2014, pour diriger le groupe national des médias avec un salaire de 10 millions de dollars par an, Alina Kabaeva n’a pas été souvent aperçue en public. Côté vie professionnelle, l’ancienne sportive s’est montrée indispensable aux yeux de Vladimir Poutine. Et côté coeur, Alina Kabaeva aurait donné naissance à des jumelles, aujourd’hui âgée de sept ans, en 2015. Elles seraient nées près de Lugano en Suisse. Et selon nos confrères, elle aurait également eu deux autres fils avec Vladimir Poutine. « Alina a deux jeunes garçons et des jumelles avec Poutine qui sont nés en Suisse. C’est pour ça que les enfants ont tous des passeports suisses, et j’imagine qu’elle aussi » explique une source proche de la famille.

« J’ai une vie privée dans laquelle je ne permets pas d’ingérence. Il faut le respecter », a-t-il dit un jour. « J’ai toujours réagi négativement à ceux qui, avec leur nez morveux et leurs fantasmes érotiques, rôdent dans la vie des autres. » C’est pourquoi, il méprise les questions sur sa vie personnelle. Sa discrétion sur le sujet, sème la confusion rapporte Gala.